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Brynilde
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biographie de l'artiste

Aperçu des rayons du Soleil

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« Figure-toi des êtres humains dans une demeure souterraine, en forme de caverne, ayant sur toute sa largeur une entrée ouverte à la lumière ; ces êtres humains sont là depuis leur enfance, les jambes et le cou enchaînés, de sorte qu’ils ne peuvent ni bouger ni voir ailleurs que devant eux, la chaîne les empêchant de tourner la tête. »
Socrates
l’allégorie de la caverne de Platon

 « Figure-toi des êtres humains dans une demeure souterraine, en forme de caverne, ayant sur toute sa largeur une entrée ouverte à la lumière ; ces êtres humains sont là depuis leur enfance, les jambes et le cou enchaînés, de sorte qu’ils ne peuvent ni bouger ni voir ailleurs que devant eux, la chaîne les empêchant de tourner la tête. » commençait ainsi Socrate dans l’allégorie de la caverne de Platon. Un jour, une femme se libera de ses chaînes. Elle put ainsi se retourner et marcher vers la lumière. La lumière du soleil est aveuglante. Doucement, le monde extérieur se dessine devant ses yeux. Elle comprend ainsi que les perceptions dans la caverne sont trompeuses. Les ombres sur les murs de la caverne n’étaient qu’un pâle reflet d’une réalité supérieure. Elle comprit la Nature de la Réalité.

J’étais dans ma dernière année de lycée et j’appris que, selon Platon, le philosophe a la capacité de briser les chaînes et de marcher vers la lumière, d’accéder au monde des Idées. Le philosophe, en quête de vérité et se préoccupant de la question du réel, peut ainsi accéder à la réalité supérieure. J’étais convaincue que j’avais trouvé un autre moyen de briser les chaînes et d’accéder à la lumière.

A cette époque, je jouais de la guitare électrique dans un groupe avec trois amies. Un jour que nous jouions et improvisions ensemble, nous nous sommes soudainement retrouvées en parfaite synchronisation. Ce fut comme une mélodie qui prit vie de façon autonome, émergeant du bout de nos doigts, sur nos instruments respectifs, en même temps. Ça semblait être un court moment hors du temps et de l’espace. Je sentais les chaînes autour de mon coup se relâcher. Je pouvais tourner la tête et voir la lumière du soleil à l’extérieur de la caverne. Nous avons appelé ce morceau la Porte, car nous savions que durant cet instant la porte vers la réalité supérieure s’était entrouverte. Ainsi, je sus que ce ne sont pas uniquement les philosophes qui peuvent sortir de la caverne, mais également les poètes, artistes, guérisseuses, mystiques, et autres chercheuses de lumière.

Je passerais le reste de ma vie à la recherche de cette porte vers la lumière. Très tôt, cependant, je me suis perdue dans les limbes obscures de ma psyché. J’ai alors ressenti le besoin d’explorer la Nature de la Réalité en empruntant un chemin ferme et sécurisé. Je laissais de côté la musique et les arts pour suivre des études scientifiques.  J’obtins mon diplôme de docteur en Biochimie à l’université René Descartes à Paris, en 2006.  Je rejoignis les instituts nationaux de la santé (The National Institutes of Health), aux Etats-Unis, pour une carrière scientifique dans la recherche contre le cancer. Je ne toucherais ni un piano ni une guitare pendant plus de 15 ans. Mais je n’oubliais pas ma mission et j’explorais différentes voies pour retrouver mon chemin vers la lumière. En 2010, J’empruntai la voie de la philosophie bouddhiste. J’eus la chance extraordinaire de rencontrer le maître bouddhiste tibétain de renommée internationale, Segyu Choepel Rinpoche. Une rencontre qui changerait le cours de ma vie. Depuis je suis restée une de ses étudiantes assidues. Je décidai de reprendre mes études pour suivre des cours de psychologie. J’obtins un diplôme de Master an psychologie clinique en 2017, à l’université du Maryland. Une voix me demandant de revenir vers le monde des arts ne m’a jamais quittée. Je décidai enfin de m’acheter un piano et de prendre des cours de chant. Au cours de ces années, le décor de ma réalité se fissura et les failles laissèrent passer les rayons du soleil. J’avais retrouvé mon chemin vers la sortie de la caverne. Ce chemin pris de nombreux noms : guérir, descendre dans l’inconscient, percevoir la nature de la réalité, voir la réalité ultime, atteindre l’éveil, se connecter à l’inconscient collectif, marcher vers l’individuation, atteindre l’immortalité, percevoir des instants d’éternité, voir la beauté, se libérer.

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La porte s’ouvrit à nouveau

Un soir de Novembre, en 2017, je m’écroule sur mon canape après une longue journée au labo. Souffrant de migraines depuis ma plus tendre enfance, je vivais un de ces épisodes. J’espérais que le silence, l’obscurité, et le repos prendraient soin de cette douleur. Les migraines sont bien plus qu’une douleur physique pour moi. La migraine a un impact sur mes perceptions et mon niveau de conscience, étant souvent associée à l’anxiété, la déconnection et l’isolement. Cependant, ce soir-là, alors que je sentais mon état de conscience basculer, quelque chose d’autre se produisit. J’ai soudainement ressenti le besoin de me lever et de me mettre au piano. Je m’assis sur le tabouret et je regardai, interloquée, mes doigts trouver leur place sur les touches du piano. Mes doigts savaient où aller, moi je ne le savais pas. La mélodie qui en émergeait me plaisait.

Dans son livre Comme par magie, Elisabeth Gilbert parle du processus de créativité et décrit parfaitement ce que j’éprouvais à ce moment : « Car lorsque cela se produit, c’est fabuleux. Quand la conjonction se fait, vous ne pouvez que vous incliner de gratitude, comme si une audience avec le divin vous avait été accordée. Parce que c’est le cas. »

Le souvenir de mon groupe de musique au lycée et de l’allégorie de la caverne de Platon me revint aussitôt en mémoire. Cela faisait maintenant 20 ans. J’avais finalement brisé mes chaînes, je marchai vers la lumière et je sentis la chaleur du soleil réchauffer mon cœur et mon âme. La porte était ouverte ; mélodies et paroles pouvaient à présent jaillir.

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Brynilde

Une rencontre décisive

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Ma technique vocale était plus que médiocre malgré les cours de chant et ma connaissance de la théorie de la musique limitée. L’expérience de composition n’en restait pas moins cathartique et libératrice. L’expression artistique devenait mon outil de guérison et de développement, me permettant d’exorciser mes émotions et nourrir mon âme.

Je m’installai un petit studio d’enregistrement rudimentaire et explorai des vidéos pour apprendre à utiliser le logiciel Pro Tools.  Insatisfaite de mes résultats d’enregistrement, je pris rendez-vous dans un studio professionnel, pensant naïvement que ça améliorerait le son de ma voix ! Je voulais enregistrer des chansons d’artistes connus que je reprenais au piano et au chant.

Je rencontrai l’ingénieur du son, Jeff Gruber, de Blue House Productions, en juillet 2018. Après quelques minutes à essayer d’enregistrer ma voix, Jeff me dit que je ne savais pas chanter. De façon surprenante, cette critique me parut profondément libératrice. Jeff fit la liste de mes défauts de technique vocale et me conseilla un prof de chant. Il était la première personne à me faire une critique honnête et constructive. Je le remerciai chaleureusement. Jeff me demanda alors si j’avais des compositions personnelles. Je ne m’attendai pas à cette question, j’hésitai à répondre. Je répondis un oui timide. Anxieuse et ayant peur d’insulter le superbe piano à queue, je finis par m’y installer et jouer ma première composition, The Descent. Une surprise extraordinaire : ce morceau plaisait à Jeff ! Cela me parut d’autant plus encourageant qu’il n’avait pas hésiter à critiquer ma prestation vocale. Ayant remarqué qu’il travaillait avec Pro Tools, je lui confiai que je possédais le logiciel. Je fus ravie de découvrir son enthousiasme et son désir de me former à Pro Tools, d’une façon aussi généreuse et désintéressée. Quelques sessions supplémentaires suivirent ce premier entretien. J’ai envers Jeff un grande reconnaissante car non seulement il m’a formée à Pro Tools et m’a guidée pour développer ma technique vocale, mais surtout il m’a donné confiance en moi et m’a encouragée à poursuivre mon expression artistique.

Je rencontrai l’ingénieur du son, Jeff Gruber, de Blue House Productions, en juillet 2018. Après quelques minutes à essayer d’enregistrer ma voix, Jeff me dit que je ne savais pas chanter. De façon surprenante, cette critique me parut profondément libératrice. Jeff fit la liste de mes défauts de technique vocale et me conseilla un prof de chant. Il était la première personne à me faire une critique honnête et constructive. Je le remerciai chaleureusement. Jeff me demanda alors si j’avais des compositions personnelles. Je ne m’attendai pas à cette question, j’hésitai à répondre. Je répondis un oui timide. Anxieuse et ayant peur d’insulter le superbe piano à queue, je finis par m’y installer et jouer ma première composition, The Descent. Une surprise extraordinaire : ce morceau plaisait à Jeff ! Cela me parut d’autant plus encourageant qu’il n’avait pas hésiter à critiquer ma prestation vocale. Ayant remarqué qu’il travaillait avec Pro Tools, je lui confiai que je possédais le logiciel. Je fus ravie de découvrir son enthousiasme et son désir de me former à Pro Tools, d’une façon aussi généreuse et désintéressée. Quelques sessions supplémentaires suivirent ce premier entretien. J’ai envers Jeff un grande reconnaissante car non seulement il m’a formée à Pro Tools et m’a guidée pour développer ma technique vocale, mais surtout il m’a donné confiance en moi et m’a encouragée à poursuivre mon expression artistique.

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Le Son du Soleil d’hiver, The Sound of the Winter Sun

Mes premiers morceaux commençaient à prendre une forme finale. Je dois à l’écrivaine Clarissa Pinkola Estés et son livre Femmes qui courent avec les loups, la source de ma créativité pour mes trois premières chansons : The Descent, Ungracefully et The Red Shoes. Progressivement, ce qui était initialement une expérience privée de développement personnel, prit la forme d’un projet plus ambitieux, celui de créer un album. L’apprentissage des aspects techniques d’enregistrement, la composition avec les instruments virtuels et le travail de mixage me prenaient beaucoup de temps. Développer et trouver ma voix me prit plusieurs années ! Alors que j’avais déjà un énorme travail de composition, de développement de technique vocale et de familiarisation avec Pro Tools, je décidai de développer des supports visuels pour chaque chanson. Je me lançai donc dans l’apprentissage de Photoshop. J’avais la chance d’avoir à ma disposition une collection de superbes photographies, prise par un artiste de talent, mon père. Les photos mettent en valeur des paysages et sites historiques que nous avions traversé au cours de nombreux voyages en France, au Pérou et aux États-Unis. La maîtrise de Photoshop me permit de créer des paysages surréels et de dessiner mon logo des trois oiseaux. Mes chansons traitent de différents thèmes, tels que l’identité, le courage, l’authenticité, l’addiction, l’individuation, la réalité et la spiritualité, avec le thème central de la libération de nos chaînes que sont nos émotions et perceptions. Le Son du Soleil d’hiver ainsi prit forme.

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Mes chansons traitent de différents thèmes, tels que l’identité, le courage, l’authenticité, l’addiction, l’individuation, la réalité et la spiritualité, avec le thème central de la libération de nos chaînes que sont nos émotions et perceptions.

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Une collaboration arrivant comme par magie

La création artistique est une expérience extraordinaire et rédemptrice. Je m’épanouis dans la découverte des possibilités de compositions avec les instruments virtuels.

Leo Margait and Brynilde

Leo Margarit, Plastpumpa Productions

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Je trouve et stabilise progressivement ma voix. Tout ce processus est un travail de longue haleine et également source de joie profonde. Alors que je travaillais la cinquième chanson sur la section batterie, je sentis que j’atteignais mes limites. J’étais rarement satisfaite de mes séquences de batterie et je pris conscience que je devais demander l’aide d’un batteur expérimenté. Rien n’arrive sans raison, tout est une succession de cause à effet. 

En 2013, mon groupe préféré, le groupe suédois Pain of Salvation, fait une tournée aux Etats-Unis. J’en profite pour aller le voir en Virginie avec un ami. Arrivés au concert, nous nous plaçons devant la scène. L’attente me paraît interminable. Tout à coup, les lumières s’éteignent, le groupe monte sur scène. Je vois alors le batteur de près. Un étrange sentiment de familiarité m’envahit. Je me sens soudainement transportée dans le sud de la France. Je profite du concert mais je ne peux m’empêcher de fixer le batteur en essayant de comprendre pourquoi un groupe suédois me transporte dans ma ville natale en France. Sur notre chemin du retour, je cherche le groupe sur google et je lis le nom du batteur : Léo Margarit! Tout me revient ! J’avais rencontré Léo dans les années 90, grâce à une amie que nous avions en commun. Souvenirs nostalgiques de mes années d’adolescence durant lesquelles jouer de la guitare et aller à des concerts était pour moi ce qu’il y avait de plus important au monde. Deux jours après le concert en Virginie, Pain of Salvation jouait dans une salle du Maryland. Je m’y rendis. Une chance, tout le groupe était accoudé au bar. Je me précipitai vers Léo.

Quelle expérience surréelle ! Un limouxin vivant en Suède et une montpelliéraine vivant aux Etats-Unis se retrouvaient 20 ans plus tard dans un bar du Maryland. J’ai ensuite revu Léo au cours d’autres tournées de Pain of Salvation en 2014 en Virginie et Pennsylvanie et en 2017 à Chicago.

A l’automne 2020, le monde étant plongé dans la « vie COVID » depuis déjà plusieurs mois, les connections virtuelles devenait la norme. Je réalisai alors que je pouvais prendre des cours de batterie en vidéoconférence. Je contactai Léo. Je l’informai de mon projet d’album, je lui racontai mes problèmes pour composer la ligne de batterie et je lui demandai si je pouvais prendre des cours de batterie avec lui. Il me proposa alors une tout autre option que je n’aurais jamais osé demander. Non seulement il proposait d’enregistrer la batterie mais en plus de produire l’album. Fantastique ! J’étais ravie et honorée à l’idée d’avoir sa superbe signature sonore sur mon album mais j’avoue que je n’étais pas sûre de comprendre le travail de production. J’eus un moment d’hésitation car ce n’étais pas évident pour moi de laisser entrer quelqu’un dans l’univers privé de mes compositions. Etant fan de son talent de musicien depuis des années, je décidai de lui faire confiance sur le travail de production. Son travail créatif fini sur la première chanson, j’écoutai le résultat avec admiration. Je pensai à nouveau à la citation d’Elisabeth Gilbert. Je m’inclinai donc devant Léo et lui dis que je lui enverrais sept autres chansons. Quelle chance d’avoir croisé le chemin d’un musicien de talent !

Quelle expérience surréelle ! Un limouxin vivant en Suède et une montpelliéraine vivant aux Etats-Unis se retrouvaient 20 ans plus tard dans un bar du Maryland. J’ai ensuite revu Léo au cours d’autres tournées de Pain of Salvation en 2014 en Virginie et Pennsylvanie et en 2017 à Chicago.

A l’automne 2020, le monde étant plongé dans la « vie COVID » depuis déjà plusieurs mois, les connections virtuelles devenait la norme. Je réalisai alors que je pouvais prendre des cours de batterie en vidéoconférence. Je contactai Léo. Je l’informai de mon projet d’album, je lui racontai mes problèmes pour composer la ligne de batterie et je lui demandai si je pouvais prendre des cours de batterie avec lui. Il me proposa alors une tout autre option que je n’aurais jamais osé demander. Non seulement il proposait d’enregistrer la batterie mais en plus de produire l’album. Fantastique ! J’étais ravie et honorée à l’idée d’avoir sa superbe signature sonore sur mon album mais j’avoue que je n’étais pas sûre de comprendre le travail de production. J’eus un moment d’hésitation car ce n’étais pas évident pour moi de laisser entrer quelqu’un dans l’univers privé de mes compositions. Etant fan de son talent de musicien depuis des années, je décidai de lui faire confiance sur le travail de production. Son travail créatif fini sur la première chanson, j’écoutai le résultat avec admiration. Je pensai à nouveau à la citation d’Elisabeth Gilbert. Je m’inclinai donc devant Léo et lui dis que je lui enverrais sept autres chansons. Quelle chance d’avoir croisé le chemin d’un musicien de talent !

Une collaboration arrivant comme par magie

La création artistique est une expérience extraordinaire et rédemptrice. Je m’épanouis dans la découverte des possibilités de compositions avec les instruments virtuels.

Je trouve et stabilise progressivement ma voix. Tout ce processus est un travail de longue haleine et également source de joie profonde. Alors que je travaillais la cinquième chanson sur la section batterie, je sentis que j’atteignais mes limites. J’étais rarement satisfaite de mes séquences de batterie et je pris conscience que je devais demander l’aide d’un batteur expérimenté. Rien n’arrive sans raison, tout est une succession de cause à effet. 

En 2013, mon groupe préféré, le groupe suédois Pain of Salvation, fait une tournée aux Etats-Unis. J’en profite pour aller le voir en Virginie avec un ami. Arrivés au concert, nous nous plaçons devant la scène. L’attente me paraît interminable. Tout à coup, les lumières s’éteignent, le groupe monte sur scène. Je vois alors le batteur de près. Un étrange sentiment de familiarité m’envahit. Je me sens soudainement transportée dans le sud de la France. Je profite du concert mais je ne peux m’empêcher de fixer le batteur en essayant de comprendre pourquoi un groupe suédois me transporte dans ma ville natale en France. Sur notre chemin du retour, je cherche le groupe sur google et je lis le nom du batteur : Léo Margarit! Tout me revient ! J’avais rencontré Léo dans les années 90, grâce à une amie que nous avions en commun. Souvenirs nostalgiques de mes années d’adolescence durant lesquelles jouer de la guitare et aller à des concerts était pour moi ce qu’il y avait de plus important au monde. Deux jours après le concert en Virginie, Pain of Salvation jouait dans une salle du Maryland. Je m’y rendis. Une chance, tout le groupe était accoudé au bar. Je me précipitai vers Léo.

Quelle expérience surréelle ! Un limouxin vivant en Suède et une montpelliéraine vivant aux Etats-Unis se retrouvaient 20 ans plus tard dans un bar du Maryland. J’ai ensuite revu Léo au cours d’autres tournées de Pain of Salvation en 2014 en Virginie et Pennsylvanie et en 2017 à Chicago.

A l’automne 2020, le monde étant plongé dans la « vie COVID » depuis déjà plusieurs mois, les connections virtuelles devenait la norme. Je réalisai alors que je pouvais prendre des cours de batterie en vidéoconférence. Je contactai Léo. Je l’informai de mon projet d’album, je lui racontai mes problèmes pour composer la ligne de batterie et je lui demandai si je pouvais prendre des cours de batterie avec lui. Il me proposa alors une tout autre option que je n’aurais jamais osé demander. Non seulement il proposait d’enregistrer la batterie mais en plus de produire l’album. Fantastique ! J’étais ravie et honorée à l’idée d’avoir sa superbe signature sonore sur mon album mais j’avoue que je n’étais pas sûre de comprendre le travail de production. J’eus un moment d’hésitation car ce n’étais pas évident pour moi de laisser entrer quelqu’un dans l’univers privé de mes compositions. Etant fan de son talent de musicien depuis des années, je décidai de lui faire confiance sur le travail de production. Son travail créatif fini sur la première chanson, j’écoutai le résultat avec admiration. Je pensai à nouveau à la citation d’Elisabeth Gilbert. Je m’inclinai donc devant Léo et lui dis que je lui enverrais sept autres chansons. Quelle chance d’avoir croisé le chemin d’un musicien de talent !

Leo Margait and Brynilde

Leo Margarit, Plastpumpa Productions

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Brynilde

La quête d’une vie

Pendant à peu près un an et durant la composition de mes deux dernières chansons, je traversai une crise identitaire dans mon métier de chercheuse en cancérologie. Crise identitaire qui coïncidait avec la crise COVID et au bout de laquelle je quittai la recherche pour me réorienter dans un poste de direction de programmes scientifiques. Je terminai la composition de ma dernière chanson durant l’automne 2021. Alternant entre ma vie de scientifique et ma vie de musicienne, ainsi qu’entre ma vie aux États-Unis et mes racines en France, il ne m’est pas facile d’harmoniser mes multiples identités.

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Remerciements

Au précieux soutien artistique de mon père s’ajoute l’attention indéfectible de ma mère. Nos discussions philosophiques, ses références à des auteurs et ouvrages qui sont à la source de l’inspiration de mes chansons et son encouragement continuel m’ont permis de poursuivre un rêve qui initialement paraissait irréalisable. Ce site internet a vu le jour grâce à la vision et au talent créatif d’une amie, J. Lee Ayres-Collins. Ce projet a commencé il y a 25 ans et continue à évoluer et à avancer. Je suis reconnaissance de toutes ces belles rencontres et des amitiés construites au cours de ces années et j’accueille avec enthousiasme toutes celles à venir.

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